Crédit photo : Ecole Kourtrajmé de Montfermeil

Depuis un peu plus de 12 mois, l’Atelier Responsif accompagne l’Association Cité des Arts Visuels, structure porteuse de l’École Kourtrajmé de Montfermeil, école atypique de cinéma, qui oeuvre pour la formation et l’insertion des talents techniques et artistiques.

Comme évoqué dans un précédent article sur le blog de l’Atelier, j’ai accompagné l’association pendant plus de 5 mois, en 2022, pour la structuration d’un projet de développement et de changement d’échelle de l’Ecole Kourtrajmé Montfermeil, à l’horizon 2030. Cette mission comprenait un volet ingénierie de projet, un volet rédactionnel, ainsi qu’un volet d’ingénierie financière et budgétaire car le projet « Kourtrajmé 2030 » se déroule sur une période de 8 ans (2023 – 2030) et il s’agissait de définir un nouveau modèle économique, plus durable. Ce projet complexe a été soumis en octobre 2022 auprès du CNC en réponse à l’appel à projets « La Grande Fabrique de l’Image », dans le cadre du dispositif FRANCE 2030.

Après plusieurs phases d’échanges et de transmission d’informations complémentaires au CNC, gestionnaire de l’appel à projets, les lauréats de l’appel à projet FRANCE 2020 « La Grande Fabrique de l’Image » ont enfin été annoncés le 19 mai dernier, pendant le Festival de Cannes, par la Ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, et par Bruno Bonnell, Secrétaire Général pour l’Investissement en charge de FRANCE 2030.

Ce fut un grand moment d’émotion couronnant plusieurs mois de travail avec l’équipe de l’Association Cité des Arts Visuels : l’École Kourtrajmé de Montfermeil est bien parmi les lauréats de l’appel à projets « La Grande Fabrique de l’Image ».

 

 

Dans le cadre de cette labellisation, l’Ecole Kourtrajmé de Montfermeil bénéficiera, au terme du processus de contractualisation avec la Caisse des Dépôts et Consignation, suivant la décision du Secrétariat Général pour l’Investissement en charge de FRANCE 2030, validée par le Comité de Pilotage ministériel opérationnel Culture de FRANCE 2030 et la Première Ministre, d’un financement de l’Etat pouvant aller jusqu’à 2 millions d’euros.